C'est comme un rêve qui se termine en cauchemard... ( libre )

Cela faisait environ une demi heure que Likya parcourait la forêt enneigée.
La lumière passait facilement entre la cime dénudée de feuilles des grands arbres.
La neige, d’un blanc immaculée, éblouissait la jeune femme.
Cette dernière, malgré ses vêtements, n’avait pas froid.
Elle écoutait le doux bruis du vent dans les branches des feuillus centenaires. Soudain, la forêt s’arrêta et laissa place a une cascade magnifique : sur la gauche, une falaise couverte de mousse et de stalactites de glace, d’où tombait de l’eau ayant certainement appartenu a un ruisseau bordant le sommet de la falaise.
L’eau, en coulant sur la mousse, se transformait rapidement en stalactite. Le reste de l’eau qui avait réussi a ne pas se transformer tombait sur un escalier allant vers la droite.
Il était formé de larges plaques de quarts d’un blanc étrangement transparent.
Émerveillée, Likya contempla la falaise glacée.
Puis, comme dans un rêve, la neige se mit a tombée. La jeune orpheline sourit, puis essaya d’attraper un des millier de gros flocons qui s’étendait sur la forêt.
Mais d’un seul coup, le rêve devint un cauchemar : Likya, qui c’était un peu trop avancée vers le bord des plaque de quarts glissant pour attraper son flocon, tomba dans l’eau glacial qui l’emporta sans effort vers une autre chute d’eau d’environ trente mètre de haut.
La jeune femme aller tomber, quand elle se rattrapa de justesse a une des plaque de quarts qui, heureusement pour Likya, avais une entaille assez profonde pour qu’elle y mette sa main.
[ quelques heures plus tard ]
Elle n’en pouvait plus. Elle était a bout de force. Sa main avait commencé à saigner depuis environ cinq minutes. Ses yeux se refermaient lentement. Cela faisait plus d'une heure qu'elle appelait à l'aide et qu'elle essayait de remonter sur la plaque en vain ...
Soudain, alors qu’elle aller lâcher prise, quelque chose attrapa sa main gelée, la remonta sur la plaque de quarts et la posa délicatement sur ses épaules.
Likya tenta d’ouvrir les yeux, mais elle n’en eut pas la force, puis elle s’évanouit.

Eïko ne savait ce qu'il avait prit mais en voyant cette jeune femme presque gélé qui allait lacher prise il fut prit par une grande pitié, un sentiment qui, depuis que ces parents etait mort, n'avait jamais refait surface. Il prit la jeune femme sur ces épaules et la porta pendant plusieurs heures avant d'arriver devant une falaise ou il y avait une petite grotte qui entrait faisait 6 metre de profondeur et 5 de largeur. Il la coucha sur son sac de couchage fait entierement de la peau de l'ours qui vivait là avant qu'Eïko vienne le déloger. Il alluma un feux avec des branches qui l'avait soigneusement ramassé puis fais secher, s'assit sur les fesses en face de la jeune femme et il fixa le feu, en même temps de le regarder il penser a ces dix dernieres années qui l'avait passé a erré dans tout les coins du pays avant de retourner sur sa terre natale, ces dix derniere années où il souffra et souffrai encore de la disparitions de ces parents alors qu'il n'avait que cinq ans...

Il ne détachait pas le feu du regard sauf pour le nourir de branches seches...

[ effort de ligne s'il te plais ! ]

Likya ouvrit lentement les yeux. Quelqu’un l’avait posé sur une surface douce, qu’elle n'arrivait pas identifiée. Puis, tout d’un coup, Likya se leva d’un bond. Elle ne reconnaissait pas cet endroit. Elle se sentait capturée, mise en cage. Inquiète, elle regarda autour d’elle et vis un jeune homme qui la regarder. Il avait les yeux noir, les cheveux bruns. Il la scrutait, comme s’il chercher quelque chose. Likya, encore plus intimidé par son regard dur, chercha du regard son sabre. Elle le vit rapidement et, en un bond, elle l’attrapa, et le mis devant-elle. Puis, l’homme se leva, et s’approcha d’elle sans la quittait des yeux. Likya recula jusqu’à se cogner contre la parois de la grotte. En alerte, Likya le fusilla du regard. Mais le réaction du jeune homme ne lui plu pas. Il sourit, comme amusé par sa réaction.
"Un pas de plus, et je vous tranche la tête. Qui êtes vous ? " lança-t-elle, pas très rassurée, malgré son ton dur et sans tremblement.

Eïko, qui etait lever, se languissait de tout cette inquietude et de cette peur qui montait en la jeune femme, sa haine, l'inquietude et la peur qu'elle exprimer lui procurer un plaisir innoue. En temps normal Eïko, l'aurait tué sans faire plus d"histoire mais il l'avait sauvé et un sentiment qu'il ne connaissait pas bouillonnait en lui. C'est donc pour ça qu'il se contenta de prendre des branches seches et de les deposer sur le feu puis il se rassit, et fit signe du doigt la sortit... et le froid. Il savait que si la jeune femme sortait elle mourrait mais il savait aussi qu'elle ne sortirait pas.

Sans comprendre, Likya regarda dans la direction indiquée par son doigt. Un vent glacial arrivait par la petite ouverture enneigée qu'il montré. Likya regarda à nouveau le jeune inconnu. Il ne la regardait pas. Il jetait des brindilles dans le feu. Elle ne comprenait pas pourquoi il n’avait pas répondu à sa question. Peut-être était il muet… Mais, elle n’aimait pas être là, enfermait dans une petite grotte sombre avec un inconnu pour seule compagnie. Sans quitter l’homme des yeux, la jeune femme se dirigea vers la sortie. Puis, l’inconnu leva les yeux, et Likya put voir une faible lueur de regret dans ses prunelles de jais.

Eïko baissa les yeux, malgré lui, il avait fait quelque chose qu'il s'interdisait depuis des années, il venait de montrer un signe de faiblesse, et toujours sans la regarder Eïko dit d'un ton glacial :
" Si vous sortez, vous ne tiendrez pas 24 heures "

Eïko savait que dans cette environement hostile il fallait etre extrement experimenté en ce qui concerne la survie, chose que la jeune femme semblait totalement ignoré, il savait aussi que si Eïko n'etait pas passé par là la jeune femme aurait périt. Toute ces choses lui occuperent l'esprit en attendant que la jeune femme reponde.

Son ton fit trembler Likya. Il était plus froid que le vent s’engouffrant dans la petite grotte. Jamais elle n’aurait pensée cela d’un inconnu, mais elle avait pitié de lui. Elle avait l’impression qu’il n’avait jamais ri, ou encore sourit a quelqu’un. Il avait un cœur froid, sans chaleur. Même elle, après la mort subite de ses parents, n’avait pas était comme lui. Elle se retourna et lui fit face, ses beau cheveux blond volant dans le vent qui entrait à grand flots dans la caverne. Puis, soudainement, sans réfléchir, elle lui envoya un magnifique sourire.
"Alors, je peux rester dans votre grotte, en attendant que le vent se calme ?"

Eïko ajouta quelques branches dans le feu puis lui montra le matelas où elle avait été couché et lui dit d'un ton toujours aussi glacial et toujours sans la regarder :
" Comment vous appelez vous et que faite vous dans un environnement aussi hostile que celui ci ? "
Aprés avoir parler, Eïko enleva les deux dagues qu'il avait placer dans son petit ceinturon, et les lança prés du feu, il enleva ensuite deux autre dagues qui se trouvé chacune prés de chacuns de ces deux tibias. Il s'assit puis fit chauffer ces dagues pour les entretenir tout en attendant la reponse.

"Je ne sais pas comment je suis arrivée ici … J’étais dans la forêt, il y a quelques heures, puis j’ai glisser dans la rivière, mais j’ai réussie à me rattraper au bord d’une plaque de quarts. dit-elle à l’inconnu. Je m’appelle Likya Ytsuro. Et vous ? Je vous revois la question." Lança-t-elle avant d’allée s’asseoir près du feu. Elle commençait à avoir froid, et la nuit était presque tombée.

" Appelez moi Eïko, je vient chercher ici la solitude et le calme, ici personne ne vient " Repondit il a Likya toujours aussi froidement il attrapa un oiseaux qu'il avait tué et plumé avant qu'il trouve la jeune femme. il le fit griller arracher une cuisse et la tendit a Likya avant de poser deux nouvelles questions :
" Quel est votre passé ? Vous avez de la famille ? "
Puis il mangea l'oiseau en question en attendant la reponse de Likya.

Dès qu’elle entendit la dernière question, Likya baissa automatiquement les yeux. La pensée de ses proches fit monter en elle une immense douleur, accompagnée de colère toute aussi grande. Quand elle leva les yeux pour regarder Eïko, ses iris s’étaient transformées en flammes rouge sang. Le souvenir de la torture qu’avaient infligée les voleurs à ses parents refit surface dans la mémoire de la jeune femme. Un énorme feu de chagrin l’envahi d’un seul coup.
"Mes parents sont… mort. Ils ont étaient tués il y a quelque années. Je n'avais pas d'autre famille qu'eux." réussi-t-elle à prononcer. Puis, Sans qu’elle ne puisse la retenir, une larme perla sur sa joue. Likya n’essaya même pas de la retenir, son chagrin était trop grand pour s’opposé a quelques malheureuses larmes. Alors, en silence, Likya laissa couler quelques perle d’eau de ses yeux encore plein de colère et de chagrin, où les flammes de douleurs continuaient a brûler son cœur, ce qui fit encore grandir son chagrin, déjà immense. Elle tourna la tête pour éviter de dévoiler le chagrin qu'elle avait eu tant de mal a retenir au cour de ces dernières années.

En entendant la réponse de Likya, le chagrin qui l'avait eprouvé aprés la mort de ces parents resurgit d'un coup et ce chagrin se transforma en haine. La haine de n'avoir rien pu faire pour proteger ces parents, la haine d'avoir été seule pendant aussi longtemps sans jamais n'avoir pu exprimer son chagrin de d'avoir perdu ces parent. Tout cela lui tomber dessus d'un seul coups et la douleur en était insuportable, il sortit de la grotte brusquement et alla en direction d'un vieux chêne se laissa tomber sur les genoux et lui cria dessus :
" POURQUOI !?! POURQUOI MOI !?! QUE VOUS AI JE FAIT POUR QUE VOUS M'INFLIGER TANT DE SOUFFRANCE, DE CHAGRIN ET DE HAINE !!?!! "
Eïko baissa la tête et resta de longues heures a attendre, attendra d'avoir une reponse ou attendre la mort...

Akiro voyageait depuis longtemps. La faim lui brulait les entrailles, et la solitude lui pesait. Il aperçut un feu, et entendit un hurlement, venant d'une grotte proche. Le jeune homme espéra que les gens qui avaient allumé ce feu l'accueillerait chaleureusement, ou au moins cordialement. Lorsqu'il entra, il aperçut une jeune femme, d'une beauté incroyable. Ses longs cheveux blonds tombaient sur ses hanches parfaites, et de ses magnifiques yeux verts perlait des larmes, qui roulaient sur les superbes joues de son visage fin. Akiro ressentit un drôle de spasme au niveau de son ventre, qui n'avait rien a voir avec la faim. D'ailleurs, il avait oublié cette dernière. Tout son corps s'emplissait désormais d'une sensation de chaleur, que jamais il n'avait éprouvé. Après un moment de contemplation de la beauté qui se trouvai devant lui, il parvint a indentifier ce sentiment. Akiro aimait cette femme, plus que tout au monde. Elle était le diamant qu'il espérait voir illuminer sa vie. Qu'importe qui elle était. Il l'aimait, cela ne faisait aucun doute. Elle dégageait une telle aura de magnificence ...

Mademoiselle ? Puis-je demander l'hospitalité et la compagnie, pour ce soir, au moins ?

Akiro espérait que la réponse fut positive. Un refus de la part de cette femme parfaite le briserait, lui qui espérait trouver l'amour depuis si longtemps. Evidemment, une telle beauté devait être déjà en couple. Même si cette idée se trouvait vérifiée, il espérait gagner le droit de la protéger et de la servir, jusqu'a ce que la mort vienne le chercher.

Likya était en larme, maintenant. C’est à peine si elle vit Eïko sortir en trombe de la petite grotte. La jeune femme, pleine de chagrin, laissa libre cour a ses larmes pendant quelques minutes, avant d’entendre des bruits de pas à l’entrée de la caverne. Likya leva la tête et vit un jeune homme entré dans la petite pièce. Il avait à peu près son age, grand, les cheveux châtains tombant sur ses yeux noisette la peau légèrement bronzé. Likya ne put s’empêcher de l’observer avec attention. Elle n’avait jamais vue d’homme ayant la peau aussi sombre, car les elfes ont rarement la peau bronzée. L’inconnu la regardait aussi, mais pas de la même façon. Il la regardait comme si elle était une perle extrêmement rare que l’on vient de au milieu d’un océan très profond. Puis, il pris la parole, et lui demanda d’une voix chantante si elle pouvait lui tenir compagnie, et avoir son hospitalité. Elle détourna rapidement les yeux et essuya ses yeux avec son poigner, se cachant derrière un étroit rideau de cheveux blond. Puis, en un bond, elle se mis debout et chercha ses mots.
"Heu… Il faut avant tout que j’en parle à quelqu’un… Cette grotte n’est pas… à moi. Attendez moi ici, je vais le chercher sur le champs."
Puis, elle sortis de la petite caverne au pas de course. Elle vit immédiatement Eïko, agenouillé devant un grand chêne enneiger. En le voyant dans ce décor immaculé et triste, la pitié lui remonta dans la gorge. Elle ne savait pas si elle devait le déranger, ou le laisser encore un peu seul. Mais la première décision étant la plus sage, elle se dirigea vers lui sans faire un bruit. Le froid effleuré sa peau d’une blancheur parfaite et sans défauts. Quand elle fut près du jeune homme, elle lui pris la main et lui demanda d’une voix blême, presque éteinte.
"Ça va aller ? Je suis vraiment désolée, j’aurais dû me retenir, mais c’était plus fort que moi… Je…"
Ne sachant plus quoi dire, elle détourna le regard du visage d’Eïko, de façon à ce qu’il ne vois plus son visage, et commença à retirer lentement sa main de l’épaule du jeune homme.

Eïko aprés plusieurs heure d'attente sans avoir bougé dans la neige, Eïko avait enfin trouvé une reponse, il ne devait plus rester seul dans un endroit aussi isolé et rechercher le meurtrier de ces parents. Il se leva puis l'ecouta pendant quelque instant avant de l'interrompre en lui posant l'index sur les levres, il lui prit les mains en lui disant doncement avec la voix, non plus de la haine, mais du jeune homme charmant et boulloinant de vie qui etait en lui :
" Ecoutez, je dois pas vous pardonner mais me remercier, car grace a vous la méchanceté et la haine que j'avais en moi depuis bien longtemps a disparu. Je ne vous remercirai jamais assez. "

Cette réponse scotcha Likya. Le tons d’Eïko avait changé, il était devenu plus joyeux, plus charmant, plus chaleureux. Le froid avait disparu de sa voix et de ses trait. Likya lui fit face, étonnée. Le visage d’Eïko était maintenant serein, il souriait. Elle était aussi étonnée que si elle avait vue un éléphant bleu et un cheval violet passer à travers la forêt. Elle pris soudain la main du jeune homme qui était toujours sur ses lèvres dans la sienne et murmura, gênée.
Heu… Eïko, je… Il y a un inconnu dans la grotte qui m’a demandé l’hospitalité pour la nuit… et comme cette grotte est à vous, je… J’étais venu vous le demander…

Eïko fut étonné, un inconnu ? dans un lieu aussi peu frequenté et inhospitalier que celui ci. Il repondit a Likya :
" Eh bien allons voir ce mysterieux inconnu qui demande l'hospitalité. " Quand Eïko entra dans la grotte, il vit un jeune homme qui avait à peu près l'âge de Likya, grand, les cheveux châtains tombant sur ses yeux noisette, la peau légèrement bronzé. Eïko ne put s'empecher de detacher son regard de lui, il avait souvent rencontrer des hommes dans son errance et il etait presque tous aussi fourbe et méchant les uns que les autres. Ce qui le fit changer aussitot de comportement :
" Qui etes vous ? Et comment etes vous arrivez jusqu'ici ? "
Fit il d'un ton glacial en le regardant comme s'il etait un voleur. Il etait prêt au moindre mouvement suspect a sortir ces dagues et a lui les enfoncer dans le coeur, il savait que les hommes etait bien plus fragile qu'eux, les elfes.

" Souhaiter vous vraiment dormir ici car je crois que vous avez oublié les règle de l'hospitalité ? " Dit il sur un ton menaçant a l'inconnu. La situation se tendit encore plus quand il vit le dénommé Akiro poser sa main sur la hanche ou il y avait un couteau il se mit encore plus en alerte et etait prêt a sortir ces dagues et a les lui enfoncer dans le coeur en un quart au seconde au moindre mouvement bizzare. Il poussa doucement Likya derriere lui avec sa main en lui soufla d'un ton trés tendu :
" Likya, restez derriere moi, cet inconnu ne m'inspire pas du tout confiance, il risque d'y avoir de la bagarre "

Likya ne se sentait pas bien. L’atmosphère tendu qui plané au dessus des deux hommes ne lui plaisait pas du tout. Il fallait qu’elle intervienne, si non, le sang d’Eïko et d’Akiro risquer fort de couler dans les secondes qui allaient suivre. Alors, vive comme l’éclaire, elle s’interposa entre les deux hommes et dit d’une voix dur et autoritaire.
"Vous avez fini, tout les deux ?! Vous voulez vraiment vous entretuer ? Réfléchissez un peu, avant de prendre vos couteaux ! Ne voyez vous pas que vous êtes tout les deux en tort ? Alors lâchez vos armes et arrêter vos gamineries."
Sa voix fini en un murmure, sans pour autant perdre sa dureté. Puis, elle s’écarta, laissant place aux garçons. Elle se mit dans l’ombre de la parois, attendant leurs réponse et étant prête pour une nouvelle intervention.

" Si vous voulez dormir dans le coin ce sera dehors ! DEHORS ! "
Lança Eïko a Akiro en lui montrant du doigt la sortit, comme il ne bouger pas Eïko saisit une de ces dagues et la lui lança a cinq centimetre de sa tête ce qui le fit sursauter puis, Eïko lui tourna le dos et sortit de la grotte et attendit que ce dernier sorte pour allez cherchez du gibier. Eïko n'etait satisfait qu'a moitié car il n'avait pas eu la reponse d'Akiro, et le combat qui etait sur le point de commencer ne s'etait pas declarer.
* Pas aujourd'hui ,se dit-il, mais un autre jours et cette fois il n'y aura pas d'arret tant qu'il n'y aura pas un seul vainquer *

En entendant la réponse d’Eïko, la colère monta dans l’esprit de Likya. Puis, Eïko lança sa dague et sortit. La colère de la jeune femme monta d’un cran, jusqu’à atteindre la limite du supportable. Likya poursuivi Eïko, se plaça devant lui et lassa libre court a sa colère.
"Tu le jette dehors et tu ose dire qu’il a oublié les règles d’hospitalité ? La moindre des choses était de le laisser dormir a l’intérieur, mais, apparemment, tu n’est pas capable d’avoir la moindre poussière de générosité ! Très bien, c’est ta grotte, c’est ton choix, mais ne compte pas à ce que je reste dans la caverne pendant qu’Akiro se gèlera dehors !"
Sur ce, elle fit demis tour, laissant Eïko seul dans la neige. Elle lui avait hurler dessus, et elle ne s’en voulait pas. Eïko c’était montré généreux avec elle. Il l’avait sauver, loger, et nourris, mais elle était apparemment une exception. Elle se dirigea vers la grotte où Akiro n’avait pas bouger, pris son sabre et sortit à grand pas. Likya se dirigea vers la rivière où elle était tombée le matin. Rien ne pourrait l’empêché du partir, a moins qu’une bonne raison ne s’impose.

Eïko s'arreta net quand il entendit des pas venant de derriere lui, il etait prêt a sortir sa dague au moindre signe d'agression. Quand il entendit l'inconnu prénommé Akiro lui dire de continuer le combat, Eïko n'y prêta pas attention, il n'avait que faire de parole d'un provocateur plus vieux que lui et beaucoup plus immature en ce qui concerner son comportement. Mais quand il sentit sa propre dague volé juste au dessus de sa tête et lui arrachant au passage plusieur mêche de cheveux sans n'etait trop il etait allé trop loin, il sortit une dague au niveau de son ceinturons et un autre dague au niveau de son talon gauche et continua le combat commencer. Mais au lieu, de le tuer directement, Eïko fit semblant d'etre sur le reculoir jusqu'a arriver un peu au dessus d'où il avait sauvé Likya. Là, il egratigna la main de Akiro au niveau du poignet, ce qui lui fit lacher son arme, puis il en profita pour l'attraper et le precipiter dans le fleuve, dont l'eau etait extremement froide. Il fit un enorme " PLOUF " et fut emporté par le courant. Eïko resta regarder le spectacle, il ne voulait surtout pas manquer le momment ou il allait tomber par la cascade.
* Adieu sale petit provocateur ! "